vendredi 26 décembre 2008

Première leçon



Historique :
En dehors du Divisionnisme post-impressionniste évoqué dans notre introduction, il est assez difficile de trouver (en tout cas pour ce qui est de la peinture d’avant le vingtième siècle) d’autres exemples annonciateurs du Divisionnisme périgourdin.
On relèvera cependant que le procédé ( tout à fait recevable par notre Ecole)qui consiste à diviser un récit en plusieurs scènes et à le recomposer ensuite en une seule image, était fréquent jusqu’à la Renaissance et même au début de celle ci.

Un tableau du Titien : Allégorie de la sagesse relève aussi du Divisionnisme périgourdin en ce qu’il réunie les trois visages d’un homme après division de la vie de cet homme en trois pèriodes.

De ces deux premiers exemples on retiendra que la division opérée par l’artiste (ici dans un récit ou le cours d’une vie) qui, certes, ne peut être qu’arbitraire, doit cependant présenter un degré minimum de pertinence pour assurer sa lisibilité dans l’œuvre qu’elle fait naître.

Pertinence, donc, dans la division, et lisibilité dans la composition constituent la deuxième condition que devra remplir une œuvre, réalisée selon la méthode du divisionnisme périgourdin ( ce qui est la première condition) pour être digne d’être accrochée aux murs de cette école.


EXERCICES :

I-chercher,dans l’histoire des arts, un ou plusieurs exemples annonciateurs du Divisionnisme périgourdin.

II-Produire une œuvre synthétisant, après division, un récit, discours, proverbe ou raisonnement.

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